Paroles de Ginger

Quel est ce parfum que le vent dépêche ?
On dirait que la chair brûle
Viens suis-moi, j'connais l'endroit
Où l'herbe est encore fraîche
Empruntons ce chemin, diis adieu à la ville
C'est à temps. Prends ma main.
Cesse donc de jouer l’indocile
De l’arbre a bientôt recouvert nos maisons
Je t’en prie allons-nous-en
Mon cœur, mon cœur, est un pendule
Mon cœur bat dans tes pas
Je ne fais que t'attendre, mon cœur, mon cœur,
Sous le ciel noir de cendres.

Oh… Ginger, la montagne vacille
Oh… Ginger, allons-nous-en d'ici
Cours enfin… cours. Allez. Vas-y !

On dirait que l'enfer entier est à nos trousses
La lave s'avance, mais je crois en la chance de rejoindre la mer

Elle est là, quelques pas, non, ne te retourne pas
Viens vite, suis-moi mon cœur
Les chiens sont à nos talons, mais la jetée n'est plus loin

Oh… Ginger, le sol sous nous vacille Allez, vas-y !

Oh… Ginger
La montagne vacille
Oh… Ginger
Mais de là, je l'apprécie et ris
Ginger, dis adieu à la ville
Oh… Ginger, nous sommes à l'abri à présent
Et fais-moi confiance
Nous sommes libres.
A moins que.
Oh-Oh !