Paroles de L'Alchimiste
Olala, ShazJ’suis rappeur, j’suis écrivain, j’suis acteur, j’suis comédien
J’serais peut être autre chose demain, moi, j’veux changer l’quotidien
Plusieurs cagoules, les écoute pas, tu f'ras c’que tu veux, mon grand
Moi, si j’les avais écouté, j’aurais des regrets depuis l’temps
Si j'vis de mon art, j’pourrais mourir de bonheur
Une routine de bonhomme, une routine de maman
Et j’me souviens, y a trois ans, j’suis parti d’chez mes parents
Le soir dans l’appartement, je rappais doucement :
"J’me demande toujours c’que j’aime, c’que j'veux faire de ma life
Ma mâchoire tendue me gêne et j’en deviens malade
Quand j’suis triste, la haine me fait du charme
En somme, quand j’suis seul, je pense à faire du sale"
Je ne peux plus patienter
Cette vie-là m’a trop tenté
Je n’ai plus peur de m’tromper
Maman, je n’veux pas d’regrets
Le ciel est gris, moi, j’suis aigri, j’écris des mots qui deviennent des cris
J’range mon écrin, éteins mon écran, on sourit moins depuis qu’on est grands
À part ça, j’sors d’un partiel, j’me sens seul (seul, seul)
Hamdoullah, j’ai la santé, c’est l’essentiel
J’suis indécis, ça en devient indécent, je ne me décide que quand le choix est pressant limite incandescent, j’vais pas te faire un dessin ni le langage des signes, gros, j’ai foiré l’essai
Foiré l’essai, j’ai pas réussi, les auditions, je suis pas reçu J’fais ça comme si y avait que ça à faire dans ma vie
J’écoute la p'tite voix dans ma tête, non, j’écoute pas vos avis
Je ne peux plus patienter
Cette vie-là m’a trop tenté
Je n’ai plus peur de m’tromper
Maman, je n’veux pas d’regrets
Je ne peux plus patienter
Cette vie-là m’a trop tenté
Je n’ai plus peur de m’tromper
Maman, je n’veux pas d’regrets
Une routine de bonhomme, une routine de maman
Et j’me souviens, y a trois ans, j’suis parti d’chez mes parents
Le soir dans l’appartement, je rappais doucement :
"J’me demande toujours c’que j’aime, c’que j'veux faire de ma life
Ma mâchoire tendue me gêne et j’en deviens malade
Quand j’suis triste, la haine me fait du charme
En somme, quand j’suis seul, je pense à faire du sale"
Je ne peux plus patienter
Cette vie-là m’a trop tenté
Je n’ai plus peur de m’tromper
Maman, je n’veux pas d’regrets
Le ciel est gris, moi, j’suis aigri, j’écris des mots qui deviennent des cris
J’range mon écrin, éteins mon écran, on sourit moins depuis qu’on est grands
À part ça, j’sors d’un partiel, j’me sens seul (seul, seul)
Hamdoullah, j’ai la santé, c’est l’essentiel
J’suis indécis, ça en devient indécent, je ne me décide que quand le choix est pressant limite incandescent, j’vais pas te faire un dessin ni le langage des signes, gros, j’ai foiré l’essai
Foiré l’essai, j’ai pas réussi, les auditions, je suis pas reçu J’fais ça comme si y avait que ça à faire dans ma vie
J’écoute la p'tite voix dans ma tête, non, j’écoute pas vos avis
Je ne peux plus patienter
Cette vie-là m’a trop tenté
Je n’ai plus peur de m’tromper
Maman, je n’veux pas d’regrets
Je ne peux plus patienter
Cette vie-là m’a trop tenté
Je n’ai plus peur de m’tromper
Maman, je n’veux pas d’regrets
