Paroles de H&N
Ça fait longtemps que je me soucie plus d’après si le public crie assezJ’peux plus attendre, j’traînais, rêvassais, j’ai jamais pris de la peine
De faire semblant, les pupilles dilatées, j’vis la vie, la vraie
J’profite maintenant, avant que tout s’arrête, qu’on m’entoure a la craie
La vie n’a pas sens de comme un palindrome
J‘parcours l’existence comme un terrain de cross
Y a des creux, y a des bosses, les plus malins s’paument
Mais j’étais pas l’un d’eux, juste un gamin stone
J’veux faire un chef d’œuvre, j’ai qu’un début d’ébauche
Pour fermer des gueules, ils faut péter des bouches
CQFD, j’ai cassé des culs mais la Secu aidait
Je frottais des assiettes comme un débile, frotte
J’ai fini dans la seine comme un Vélib, wow
Moi ,quand je rappe, j’ai le feeling rock
Je fais le même bruit que quand un Boeing vole
Finies les partiy dans des caves crades
Entouré de zombies comme dans Half Life
Alien, ma vie, c’est de la syfy
J’saute de la scène comme d’un half pipe
Avant j’étais seul avec ma beuh dans le sac
Maintenant, je remplis mes feuilles de poèmes et de contrats
Premiers problèmes, premiers textes, défoncé dans le tram'
Je pense à tout ce que j’ai pu perdre, et c’est peut être mieux comme ça
J'fumais du hash', j'avais la haine Depuis gamin, j’ai pas manqué de malice
Regard absent comme le beau temps de Cardiff
Souvent en r’tard comme le lapin de Alice
Différent des autres, j’aimerais casser les normes
Je n’ai pas trouvé refuge à l’école
La tête ailleurs, je fais des ronds au compas
Le diable est un ange si l’on scie bien les cornes
Laissez-moi me brûler les ailes
J’en serais pas là si je suivais les règles
Mon rap vient des poumons décoller les plèvres
Comme Ectoplasma, j’vais dévorer mes rêves
Tu verrais que des 7 si tu me tirais les cartes
Si t’éteins mon feu, je prends deux jericans
J’ai signé chez eux pour toucher l’héritage et j'vais m’en servir pour oublier mes peines
Après tout, c’est peut-être mieux comme ça
Prince de la ville, Hubert Boukobza
Mon avenir en noir surr de beaux contrats
J’ai appris sur ces lèvres que les mots ne compte,t pas
Petit gars du sud, les yeux bleus comme saphir
Maman, je reviendrais heureux et connu
Personne a parié sur l'artiste
Mais y a que ma voix qui ressort dans la cohue
J'fumais du hash', j'avais la haine
J'avais R, j'pensais qu'à elle
H, N, R, L
PEX, troisième couplet couplet, traits noirs sur la face
Je laisse ma musique aux kiffeurs
Et aux sniffeurs de poivre et d’anthrax
Je suis un piètre sentimental
En perte de santé mentale
Je me prélasse dans ce monde de merde
Les droits de l’homme en éventail
Wow
Avant, j’étais pire que pas drôle
Je gardais tout en moi
Comme un triste barrage
Mon gars, avant que le christ me pardonne
J’aurai déjà tout fait pour fermer les grilles du paradis
Moi
Je pense à ce que l’Italie m’a donné
Je n’ai qu’une putain de stricte parole
Même si je ne pense qu’à faire du fric
Au nom du merch', du stream
Et de l’industrie
Des séquelles dans le cœur irréversibles
J’ai entassé mes textes dans ma carte SIM
Grâce à toi je vais réaliser des rêves si grands
Qui feront trembler le monde sous leur
Nike
Je pense qu’à tout découper
Dans les grandes lignes
C’est mon dernier couplet d’adrénaline
Je renoncerai plus jamais
Aux rêves si grands
Comme avant quand j’étais SEUL
Avant j’étais seul avec ma beuh dans le sac
Maintenant, je remplis mes feuilles de poèmes et de contrats
Premiers problèmes, premiers textes, défoncé dans le tram'
Je pense à tout ce que j’ai pu perdre, et c’est peut être mieux comme ça
J'fumais du hash', j'avais la haine
J'avais R, j'pensais qu'à elle
H, N, R, L
Mais j’étais pas l’un d’eux, juste un gamin stone
J’veux faire un chef d’œuvre, j’ai qu’un début d’ébauche
Pour fermer des gueules, ils faut péter des bouches
CQFD, j’ai cassé des culs mais la Secu aidait
Je frottais des assiettes comme un débile, frotte
J’ai fini dans la seine comme un Vélib, wow
Moi ,quand je rappe, j’ai le feeling rock
Je fais le même bruit que quand un Boeing vole
Finies les partiy dans des caves crades
Entouré de zombies comme dans Half Life
Alien, ma vie, c’est de la syfy
J’saute de la scène comme d’un half pipe
Avant j’étais seul avec ma beuh dans le sac
Maintenant, je remplis mes feuilles de poèmes et de contrats
Premiers problèmes, premiers textes, défoncé dans le tram'
Je pense à tout ce que j’ai pu perdre, et c’est peut être mieux comme ça
J'fumais du hash', j'avais la haine Depuis gamin, j’ai pas manqué de malice
Regard absent comme le beau temps de Cardiff
Souvent en r’tard comme le lapin de Alice
Différent des autres, j’aimerais casser les normes
Je n’ai pas trouvé refuge à l’école
La tête ailleurs, je fais des ronds au compas
Le diable est un ange si l’on scie bien les cornes
Laissez-moi me brûler les ailes
J’en serais pas là si je suivais les règles
Mon rap vient des poumons décoller les plèvres
Comme Ectoplasma, j’vais dévorer mes rêves
Tu verrais que des 7 si tu me tirais les cartes
Si t’éteins mon feu, je prends deux jericans
J’ai signé chez eux pour toucher l’héritage et j'vais m’en servir pour oublier mes peines
Après tout, c’est peut-être mieux comme ça
Prince de la ville, Hubert Boukobza
Mon avenir en noir surr de beaux contrats
J’ai appris sur ces lèvres que les mots ne compte,t pas
Petit gars du sud, les yeux bleus comme saphir
Maman, je reviendrais heureux et connu
Personne a parié sur l'artiste
Mais y a que ma voix qui ressort dans la cohue
J'fumais du hash', j'avais la haine
J'avais R, j'pensais qu'à elle
H, N, R, L
PEX, troisième couplet couplet, traits noirs sur la face
Je laisse ma musique aux kiffeurs
Et aux sniffeurs de poivre et d’anthrax
Je suis un piètre sentimental
En perte de santé mentale
Je me prélasse dans ce monde de merde
Les droits de l’homme en éventail
Wow
Avant, j’étais pire que pas drôle
Je gardais tout en moi
Comme un triste barrage
Mon gars, avant que le christ me pardonne
J’aurai déjà tout fait pour fermer les grilles du paradis
Moi
Je pense à ce que l’Italie m’a donné
Je n’ai qu’une putain de stricte parole
Même si je ne pense qu’à faire du fric
Au nom du merch', du stream
Et de l’industrie
Des séquelles dans le cœur irréversibles
J’ai entassé mes textes dans ma carte SIM
Grâce à toi je vais réaliser des rêves si grands
Qui feront trembler le monde sous leur
Nike
Je pense qu’à tout découper
Dans les grandes lignes
C’est mon dernier couplet d’adrénaline
Je renoncerai plus jamais
Aux rêves si grands
Comme avant quand j’étais SEUL
Avant j’étais seul avec ma beuh dans le sac
Maintenant, je remplis mes feuilles de poèmes et de contrats
Premiers problèmes, premiers textes, défoncé dans le tram'
Je pense à tout ce que j’ai pu perdre, et c’est peut être mieux comme ça
J'fumais du hash', j'avais la haine
J'avais R, j'pensais qu'à elle
H, N, R, L
