Ils Sont Pas Prêts Réédition cover

Grand Coeur Malade Paroles

Sultan

Album Ils Sont Pas Prêts Réédition

Paroles de Grand Coeur Malade

Plus envie d'amour d'm'accrocher
de sympathiser car mon coeur finit souvent par être hospitalisé
j'l'ai souvent écris, j'ai souvent été aigris c'est à travers mes sons qu'j'ai souvent caché mes cris.
ma vie, j'l'ai souvent maudite sans meme regarder à coté j'étais attentionné quand c'était le shetan qui papotais,"han",
alors qu'j'ai plus en plus de haineux, disons que j'rap mieux que j'commence à être vénéneux.
j'suis tombé j'en ai tiré que des bonnes leçons, c'est avec la plume du phoenix que j'écris ce son.
vis l'obscurité à la lumière je vois trouble, paré pour mon avenir car y a pas d'tip-ex pour le mektoub.
j'suis né dans l 9-2 loin des porshes mais dans la porcherie, supercherie car ma famille c'est loin d'êtres des che-ri.
le plus petit 3 grandes soeurs et 2 grands frères, tout le monde prenait soin de moi apparemment j'avais pas à m'en faire.
j'ai vu ma famille se nuire, s'unir pour s'désunir se punir, ma foi j'm'attend au pire.
apparemment tout les chemins mènent à la haine, la mienne je l'aime mais j'me surprend à envier la tienne.
j'te rap mon coeur c'que j'ai jamais dis a sonn-per, j'suis un mec de tess normal jamais envié les gangsters.
mes premiers auditeurs, les cuvetars, l'oeil dessus voit tout ça, c'est étendu plus tard.
economie parallèle dans ma ville, chaud sur la crampe, les grands faisaient des jaks pendant qu' j'faisais tourner mon bloc.
foutre le zbeul dans un four, c'est pas trop la mode, ça attire les keufs "ah ah" on connais les codes bah ouais.
j'ai grandis dans sa, seringues, od etc (et cetera) au cuverons y avait des chats alors qu'aux tertres y avait des rats.
dahka, vaut mieux en rire, qu'en pleurer j'ai cotoyer les fahkas.
j'm'appelle sultan mon blaze me poussera à règner, les mouches à merdes se mangeront les toiles d'araigner, j'ai l'impression d'avoir trop d'humanité c'est dans les sourires la gentillesse que s'trouvent mes facultés.
et c'est pas bon dans une tess de trop s'ouvrir et d'aimer, nique sa mère le passé, on a trop souffert a peiner.
j'te parle d'la vie, j'te parle pas du rap, j'te parle de, quand j'm'exprimais, qu'on m'entendais ap.
le revers de la medaille est dur à supporter mais obliger de prendre sur moi tant qu'y à des supporters. si mes oreilles sifflaient quand ça parle je serai sourd autour de moi y a qu'des vautours et si je cède je deviens fou.
j'ai fais 8 mois de promenade et de cellule, voir sa mère en pleurs au parloir, crois moi c'est nul.
au placard comme une
sette-chau, les mcs en ressortent font l'apologie j'vois qu'vous êtes chauds.
j'atteris a fleury, après 48h a vitry, dépot d'creteil dans la geôle exposé comme une tympe en vitrine, j'avais la foi en guise d'arme j'ai versé 0 larmes d'après les premières lettres de ma famille c'était pire qu'un drame.
moi la bas, qui l'aurait su ? une descente a 3 voitures, un témoin, mon seum, il l'a vu, la téssi c'est ainsi, on s'fait notre propre justice, dans ma dépo y à écrit " j'refuse de donner l'nom d'mes complices " je désire assumer seul, vu qu'on s'est déplacer pour ma geule, wallah que j'serai jamais une poukave, jusqu'au linceul au jugement il l'ont tous su vu que de l'histoire ils disent tout, a la fin tout l'monde ma chek demande a croma si j'suis fou. la vie me baise depuis tout ce temps car elle ne crache pas, y a trop d'suceuse au allentours, leurs mots, ils ne les machent pas.
j'suis concentré, par les mauvais j'suis distrais aussi vrai j'ai vu l'oeil la jalousie de si près, c'est encore l'debut, on veux deja eteindre mon feu, rien a prouver a personne conscient qu'ici c'est affreux.
un jour, j'voulais tout arrteter puis on m'a dit qu'ça fais partie des epreuves car c'est la vie pas l'paradis, une phrase qui a tellement de sens a mon gout, hamdoulah j'ai tellement de chance de toujours être debout.
j'remercierai jamais assez dieu et mes proches, d'être riche en amour, meme si j'en ai peu dans mes poches.
j'rap a une époque où les mcs font du cinoche, obscurci par les péripéties mes écrits sont si moches, en moi c'est le djihad j'me fais la guerre a moi meme, mon coeur il m'eccoeur car trop de seum il me ramène.
les meufs, ma plus grande faiblesse, on perd notre temps parmis leurs fesses, le tout c'est d'en trouver une qui a vie nous interresse, le plaisir de la chair c'est le nerf de ma guerre, j'ai seummer des pêchés qu'un jour je récolterai dans ma serre.
la salat est ma force et parfois j'la néglige, je peine à reprendre, comme si le shetan me dirige. trop de pression j'en ai mal a mon bide, trop de dépressions j'en ai les pieds dans le vide.
on m'a tromper j'ai tromper, les meufs j'peux plus les compter, a trop j'ai fais des trucs sales elle peuvent plus s'la raconter. comme beaucoup, j'ai eu ma periode de gros batard, on est tous different c'qui fais de nous des êtres a part. a ceux qui font semblant, arreter de ma part, on sait reconnaitre nos erreurs maintenant qu'on chante c'est trop tard...
j'rap depuis mes 10 ans donc plus d'la moitié de ma vie, merci, a mon grand frère d'm'y avoir mis, h, à été celui qui écrivit mon premier texte, qui m'emmena au studio, qu'organisa mon premier test a moi.
anisi qu'a diam's aka mélanie; merci pour la paire de nike que tu m'a offert étant petit, on sort d'la meme époque, mais chacun prend son chemin, certain seront éboueurs et d'autre finiront médecin mais bon, j'te parle de celle du son pas de celle des cons, parmis lesquelles j'faisais parti vu qu'j'apprenai pas mes leçons.
aujourd'hui j'pilote des flows sans avoir de permission, aller au bout de c'que j'ai commencer c'est devenu ma mission. a force d'exprimer notre mal être tu sais qu'nous guerissons, ma plume a grandit, j'arrive enfin a voir l'horizon.
oui je kick sur des rythmique
pendant qu'les autres font des t'minike, j'rentre a la tess tire sur des flics qu'on partage dans nos vie tragiques.
dans les halls ou les voitures nous bloquent au milieu d'la nature sujet d'conversation les meufs ou bien ce qui tappent dans la pure
sa parle de tout on est pas stables, j'espere que remplie sera notre table, la musique me laisse perplexe car son avis n'est pas si stable.
j'ai connu le num d'écrou j'espere que la suite c'est les sous, faut pas qu'je baisse les bras sinon j'finirai chez les fous.
les portes de l'illicite me sont grandes ouvertes, mais mes parents prefererai me savoir pauvra à découvert, alors comment les aider, arreter et fater , ou diviser mon temps les dilemes sont trop comprometants.
j'ai connu la jalousie je la vie encore a ce jour, j'ai connu la traitrise, de l'amitié et de l'amour.
j'ai connu je connais, et p'tetre connaitrai l'manque d'argent, je connais le monde du rap faut pas trop compter sur les gens.
je connais les meufs, les biens et les connasses, j'ai manié la rage, jusqu'a c'que les pompiers te rammassent.
je connais mes amis proches et ceux qui par profit m'approche
je connais la foi, j'espere l'agrandir sur ma voix.
je connais un ptit public ceux qui ont acheté mon album, la sultan'dance, alors est ce que celle la c'est de la bonne, j'ai connu tellement de choses en regardant mes arrieres, j'espere une carriere sans frontières ni barrières.
quand j'écoutetout c'que j'ai dit j'ai l'impression qu'on me balade... oh mon dieux j'ai hérité d'un grand coeur il est malade.

(Merci à Nicolas Vu pour cettes paroles)