Paroles de L'ancien
Ses bâtards se rappelleront que j'étais hip-hop, 41 m'en bas les couilles de faire des tik tok90, click boom se faire une vie de boss
Génération pitbull rap sur des beat box
Que des vanneurs dans le bus, des mots pour narguer, scolarité sans plus complètement largué
Les années dépouille, la mode en rp
Si t'as pas de couilles tu sort à poil du rer B
Époque du vrai rap, des postes cassettes
Enfermé dehors, Saïd et Vincеnt Cassel
Des rêves dе game boy, (?) marchands
Les premiers ras-le-bol saoulé d'une vie sans argent
L'amour est scalpé, mon vécu au fond d'une cave, pas d'hôtel, les premiers culs que l'on n'a palper
La boule à zéro, les pecs, les tablettes
La même éducation les queues-de-cheval c'est pour les tapettes
De ceux qui se réveille au bruit du piwi
La vie avant l'euro, le gramme de shit au prix du kiwi
Enfants des émeutes, visé les keufs en haut d'une passerelle
Tous vêtu de noir pour que sa passe crème
La délinquance crû, des vies moisie
Que des ambiances rues, des guerres de ville voisines
Tous dans la bagarre, autour des boîtes sales, l'époque des bandes et j'te parle pas d'un groupe (?)
J'étais là avant les autres
Joue pas le fou mon frère
Tu parle beaucoup mais tu fais rien
Et nous c'est tout le contraire
Avant de gagner tu sais pas tout ce qu'on perd Devant les mères baisser la tête, porter les sacs de course
91 dangereux parcours, toujours bien placé
L'hiver à carrefour, lasser de nos mains glacés
L'été au quartier a fait des disciples, casser un pavillon pour aller pisser dans leurs piscines
J'appelle d'une cabine, 50 unités
Avant les putes et la nudité
Des tags au Posca un peu partout
Des potes costauds qui perdent la vie pour des histoires de codes postaux
Les jeunes sont marrants, nous l'argent de poche on connaît pas, je suis de l'école ou c'est les mômes qui donne au parents
Avant la deboche les tirs de mortier
Frère avant Jacky et Michel, Jacky et Corbier
Les grands du quartier, 1,2,3 prêt feu partez
Un mot de travers et tu t'fais tarter
Voyou à l'ancienne, joue pas la fine bouche
Gros j'aurai toujours les mains sales même en prenant mille douches
J'étais là avant les autres
Joue pas le fou mon frère
Tu parle beaucoup mais tu fais rien
Et nous c'est tout le contraire
Avant de gagner tu sais pas tout ce qu'on perd
On se tapait t'étais encore dans les lles-coui d'ton père
Aucun miracle, que de la peine dans le crew de ceux qui rap avec la haine
Avec la veine dans le cou
Ça s'apprend pas dans aucune salle de cours
Devant les mères baisser la tête, porter les sacs de course
Enfermé dehors, Saïd et Vincеnt Cassel
Des rêves dе game boy, (?) marchands
Les premiers ras-le-bol saoulé d'une vie sans argent
L'amour est scalpé, mon vécu au fond d'une cave, pas d'hôtel, les premiers culs que l'on n'a palper
La boule à zéro, les pecs, les tablettes
La même éducation les queues-de-cheval c'est pour les tapettes
De ceux qui se réveille au bruit du piwi
La vie avant l'euro, le gramme de shit au prix du kiwi
Enfants des émeutes, visé les keufs en haut d'une passerelle
Tous vêtu de noir pour que sa passe crème
La délinquance crû, des vies moisie
Que des ambiances rues, des guerres de ville voisines
Tous dans la bagarre, autour des boîtes sales, l'époque des bandes et j'te parle pas d'un groupe (?)
J'étais là avant les autres
Joue pas le fou mon frère
Tu parle beaucoup mais tu fais rien
Et nous c'est tout le contraire
Avant de gagner tu sais pas tout ce qu'on perd Devant les mères baisser la tête, porter les sacs de course
91 dangereux parcours, toujours bien placé
L'hiver à carrefour, lasser de nos mains glacés
L'été au quartier a fait des disciples, casser un pavillon pour aller pisser dans leurs piscines
J'appelle d'une cabine, 50 unités
Avant les putes et la nudité
Des tags au Posca un peu partout
Des potes costauds qui perdent la vie pour des histoires de codes postaux
Les jeunes sont marrants, nous l'argent de poche on connaît pas, je suis de l'école ou c'est les mômes qui donne au parents
Avant la deboche les tirs de mortier
Frère avant Jacky et Michel, Jacky et Corbier
Les grands du quartier, 1,2,3 prêt feu partez
Un mot de travers et tu t'fais tarter
Voyou à l'ancienne, joue pas la fine bouche
Gros j'aurai toujours les mains sales même en prenant mille douches
J'étais là avant les autres
Joue pas le fou mon frère
Tu parle beaucoup mais tu fais rien
Et nous c'est tout le contraire
Avant de gagner tu sais pas tout ce qu'on perd
On se tapait t'étais encore dans les lles-coui d'ton père
Aucun miracle, que de la peine dans le crew de ceux qui rap avec la haine
Avec la veine dans le cou
Ça s'apprend pas dans aucune salle de cours
Devant les mères baisser la tête, porter les sacs de course
