Pleine Lune 2 cover

Sakura Paroles

Scylla

Album Pleine Lune 2

Paroles de Sakura

J'suis un enfant d'qu'l'hiver, j'ai l'amour du nord
Le froid m'a rendu insensible, il a cristallisé mes ailes en cours de vol
Qu'J'suis un enfant d'l'hiver, je croyais ne plus craindre rien
Pourtant je tremble quand le printemps vient
Je n'suis un enfant de l'hiver dans l'attente du printemps éternel
Qu'un enfant de l'hiver dans l'attente du printemps éternel

Dimanche, Paris de ma fenêtre, j'entends les mouettes
Est-ce la mer qui m'interroge ?
Ici la différence fait rage
Pourquoi respecter les règles établies
Si elles sont faites pour qu'on y déroge ?
J'ai compris que s'aimer, c'est partager les torts
Les neiges éternelles ont fondu
Laisser vivre nos regrets fera de nous des hommes
Sakura, yeah
Sakura

J'suis un enfant d'l'hiver, j'ai l'amour du nord
Le froid m'a rendu insensible, il a cristallisé mes ailes en cours de vol
J'suis un enfant d'l'hiver, je croyais ne plus craindre rien
Pourtant je tremble quand le printemps vient
Je n'suis un enfant de l'hiver dans l'attente du printemps éternel
Qu'un enfant de l'hiver dans l'attente du printemps éternel

Comment y croire, l'hiver a pris fin Et même si j'vais tenter d'apprécier le printemps, l'hiver me veut
L'hiver me veut, il me réclame, relance l'assaut
Et regarde mes yeux, quoi que je fasse, j'l'ai dans la peau
Il me reste peu de temps pour faire fondre mes glaces et déjouer le sort
Faut qu'j'y parvienne avant qu'le dernier pétale ait touché le sol
Avant que le dernier pétale n'ait touché le sol
Faut qu'mes neiges éternelles aient fondu
Dég'ler mes ailes et savourer le vol
Et pour l'instant, je fais semblant, je m'émerveille
En attendant que le printemps soit éternel

J'suis un enfant d'l'hiver, j'ai l'amour du nord
Le froid m'a rendu insensible, il a cristallisé mes ailes en cours de vol
J'suis un enfant d'l'hiver, je croyais ne plus craindre rien
Pourtant je tremble quand le printemps vient
Je n'suis un enfant de l'hiver dans l'attente du printemps éternel
Qu'un enfant de l'hiver dans l'attente du printemps éternel

J'suis un enfant d'l'hiver, un peu solitaire
Je sors quand les étoiles naviguent
Les réverbères titubent
Sous somnifères, incompris comme une âme solitaire
À marcher des heures dans ma ville
Entendre son cliquetis, mais les silences prolifèrent
J'laisse la mélancolie faire
En comprenant qu'on est
Tous immenses, et si petits
Entre les arbres, les utopies, les amas d'conifères
De ciment