Ovni cover

Saxophone Paroles

Odezenne

Album Ovni

Paroles de Saxophone

Saxophone, phonographe, graff de fou, foule de gens.
Molécule autonome, déambule bulle de 16.
Mini-jupe uppercut : super cul.
Cul de sac, sac à puces, Pue ce chemin.
Main au cul, cul de jatte, claque de pute plutôt p'tite, titiller, Yeah man !
Si t'y es je fane, sautiller tu planes.
Microphone, fan de toi, toi t'es con qu'on est bien.
Bien et mal ? Mal de vivre... Virevolter, t'es sucrée.
Crémation, patienter. Fiancée chic, bric-à-brac claquer le bic.
Kicker le beat bite, pathétique tic, tête à claque je braque, patatrac
trac... face à toi je craque.
Faux-semblant, blanc cassé c'est mon tort, tordu le cou.
Coussin mou, nous c'est nous, fou c'est doux, d'où ces poux ?!
Pousse à bout, boutonnés, négations sont partout.
Tout trop vite, vitriole. Fiole de sky, ski de fond, que je fly entre les cons,
que je baille entre les gens.
Vendetta t'as gagné. Niais à vie, vis-à-vis, avise-moi, moi et toi.
Toi pour deux, deux portées. T'es vengée, j'ai mangé : gestation
passionnée.
Nez coulant, lancinant, nan c'est non, non c'est chiant. Non c'est bon !
Lancé franc, franc c'est con me concernant.
Sert m'en quatre quatrains ! M'envoyer paître, pétrin !
Train parti, parti prix, prix payé yeah man !
Si t'y es je fane, sautiller tu planes.

Saxophone phonographe, graff de fou foule de gens. libellé.
Libellule atomique, talons claquent, élastique, stick rouge bouge le boule.
Des décolletés dans les yeux ? Une lésion oculaire.
L'air de que dalle, Halles-Châtelet, léthargie.
Gît l'été, il était grand. Grands ensembles semblent vrais vraiment bien.
1.2.3 ; B.C.D. ; R.E.R. ; T.E.R. Air pourri, la banlieue lieu tout gris rien à
faire.
Des affaires ? De la hi-fi H.I.P.- H.O.P.
Tape le casque, bus de nuit vers Paris ripailler.
Un kebab, baba cool, 4,50, file d'attente.
Tente sa chance sur minette, classe de net nettoyée.
Aboyer yééé casse-toi ! T'es cassos bras cassé !
C'est ainsi, cétacé, scélérat, ragondin, din-bou blanc.
Banc public, les étoiles toiles célestes.
Zeste brun, dans un décagone cône trône alexandrin.
Drain de laine, haine de soi, soirée vive ivre mort.

(Merci à Manzanero pour cettes paroles)