Paroles de La Fanfare
Qu'on nous casse les jambesPour avoir envahit le boulevard
S'il faut qu'on y rampe
J'aime mieux ramper, que de me rasseoir
Qu'on nous crève les yeux
Pour avoir vu qu'on s'faisait avoir
S'il faut perdre les deux
J'aime mieux rêver, que de voir sans y croire
J'aime mieux ramper, que de me rasseoir
Qu'on nous clous la bouche
Pour avoir parlé dans notre langue
S'il faut qu'on la boucle
J'écrirai mes mots sur le mur des banques
Et qu'on nous brûle les bras
Pour avoir encerclé les fraudeurs
S'il faut de la douleur
J'aime mieux brûler, que de blanchir au noir
Tant qu'il nous reste le cœur
Et la mémoire
Sept milles deux cents battement à l'heure, comme une fanfare
Comme une fanfare, qui reprend chaque soir
J'aime mieux rêver, que de voir sans y croire
Que de voir sans y croire
Que de blanchir au noir
J'aime mieux ramper, que de me rasseoir
Et qu'on nous laisse rêver
Et qu'on nous laisse rêver
Et qu'on nous laisse rêver
Et qu'on nous laisse rêver
(Merci à Rosario pour cettes paroles)
S'il faut perdre les deux
J'aime mieux rêver, que de voir sans y croire
J'aime mieux ramper, que de me rasseoir
Qu'on nous clous la bouche
Pour avoir parlé dans notre langue
S'il faut qu'on la boucle
J'écrirai mes mots sur le mur des banques
Et qu'on nous brûle les bras
Pour avoir encerclé les fraudeurs
S'il faut de la douleur
J'aime mieux brûler, que de blanchir au noir
Tant qu'il nous reste le cœur
Et la mémoire
Sept milles deux cents battement à l'heure, comme une fanfare
Comme une fanfare, qui reprend chaque soir
J'aime mieux rêver, que de voir sans y croire
Que de voir sans y croire
Que de blanchir au noir
J'aime mieux ramper, que de me rasseoir
Et qu'on nous laisse rêver
Et qu'on nous laisse rêver
Et qu'on nous laisse rêver
Et qu'on nous laisse rêver
(Merci à Rosario pour cettes paroles)
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