Home
Top Artistes
Top Paroles
Ajouter Paroles
Contact
menu
search
Contactez-nous
Artiste:
Yves Jamait
Titre:
J'en Veux Encore
Assurez-vous que les corrections sont tout à fait exactes
S'il vous plaît, les mettez en évidence en quelque sorte!
Vous pouvez, par exemple, écrire
INCORRECT: avant la mauvaise ligne
CORRECT: avant la correspondant ligne correcte
Autrement, nous ne pouvons les corriger pas! Merci pour votre aide.
Des matins qui se lèvent dans le ciel de tes yeux, Des lumières du jour qui tachent tes cheveux, De tes jupes que trousse du regard le soleil, Et la gouache des fleurs sous des nuées d’abeilles... Des printemps insolents qui effacent l’hiver, Des étés qui qui étouffent de leurs bras incendiaires Des rires qui se brisent pour se laisser pleurer Sur des mélancolies par l’automne insufflées… J’en veux!... J’en veux encore!... Et ne jamais cesser de sentir, dans mes veines, Cette vie palpitée, aussi belle que vaine… J’en veux!... J’en veux encore!... Je le crie sans colère, au milieu du vacarme!... Je finirai mon verre jusqu’à la dernière larme!... Des crépuscules errants jusqu’aux lumières de l’aube, Des instants où le jour et la nuit marivaudent, De l’alcool qui s’ennuie de ne savoir créer Des musiques qui battent mon cœur irrégulier, Tes mains qui s’insinuent dans mes nuits de sommeil, L’envie toujours plus forte qu’un besoin essentiel, Des horizons brûlés par le soir qui se couche, Des vins ensoleillés qui coulent dans ma bouche… J’en veux!... J’en veux encore!... Et ne jamais cesser de sentir, dans mes veines, Cette vie palpitée, aussi belle que vaine… J’en veux!... J’en veux encore!... Je le crie sans colère, au milieu du vacarme!... Je finirai mon verre jusqu’à la dernière larme!... Des murs qui se fissurent sur des idées nouvelles, Des mots qui se répandent comme des étincelles, Des soirs qui s’agrandissent un peu plus chaque jour, Des "je t’aime","je t’attends","des bonsoirs","des bonjours"… Des enfants qui m’embrassent en me disant:"Papa!", Des amis qui m’accueillent dans le nid de leurs bras, L’ivresse qui s’abreuve du rouge de tes baisers, Et mon corps qui réclame sans être rassasié… J’en veux!... J’en veux encore!... Et ne jamais cesser de sentir, dans mes veines, Cette vie palpitée, aussi belle que vaine… J’en veux!... J’en veux encore!... Je le crie sans colère, au milieu du vacarme!... Je finirai mon verre jusqu’à la dernière larme!... Des matins qui se lèvent dans le ciel de tes yeux, Des lumières du jour qui tachent tes cheveux, Des rires qui se brisent pour se laisser pleurer Sur des mélancolies... par l’automne insufflées… (Merci à Cartier Jean Pierre pour cettes paroles)