Home
Top Artistes
Top Paroles
Ajouter Paroles
Contact
menu
search
Contactez-nous
Artiste:
Nicolas Fraissinet
Titre:
Les Pudeurs Obscènes
Assurez-vous que les corrections sont tout à fait exactes
S'il vous plaît, les mettez en évidence en quelque sorte!
Vous pouvez, par exemple, écrire
INCORRECT: avant la mauvaise ligne
CORRECT: avant la correspondant ligne correcte
Autrement, nous ne pouvons les corriger pas! Merci pour votre aide.
je revois ces nuits au long cours où le regard troublant nous nous disions notre amour sur nos corps impatients ça me revient souvent maintenant je pense à ces jours, où d'un air hésitant tu réclamais des toujours j'en demandais autant ça me revient souvent quand prendrons nous donc le temps de voir où ça nous mène d'oublier si souvent comme l'on s'aime auront nous donc le temps que nos curs réapprennent les doux désirs d'avant que l'on se tienne reverrons nous le temps des airs érogènes le feu ressuscitant de ces pudeurs obscènes on se faisait encore la cour tout en se possédant nos corps fuyaient le grand jour dévoilés lentement ça me revient souvent on avait si peur que l'amour ne s'éteigne doucement qu'on se faisait troubadours du moindre sentiment ça me revient souvent quand prendrons nous donc le temps de voir où ça nous mène d'oublier si souvent comme l'on s'aime auront nous dont le temps que nos curs réapprennent les doux désirs d'avant que l'on se tienne reverrons nous le temps des airs érogènes le feu ressuscitant de ces pudeurs obscènes où sont donc les regards légendaires quais de gare de ces débuts d'histoire quand prendrons nous donc le temps de voir où ça nous mène d'oublier si souvent, comme l'on s'aime auront nous dont le temps que nos curs réapprennent les doux désirs d'avant que l'on se tienne reverrons nous le temps des airs érogènes le feu ressuscitant de ces pudeurs avons nous perdu l'innocence, le désir, l'enfance doit-on faire oubli d' allégeance aux légitimes violences ça me revient, souvent quand prendrons nous donc le temps de voir où ça nous mène d'oublier si souvent, comme l'on s'aime auront nous donc le temps que nos curs réapprennent les doux désirs d'avant que l'on se tienne reverrons nous le temps des airs érogènes le feu ressuscitant de ces pudeurs obscènes quand prendrons nous donc le temps de voir où ça nous mène d'oublier si souvent, comme l'on s'aime auront nous donc le temps que nos curs réapprennent les doux désirs d'avant que l'on se tienne reverrons nous le temps des airs érogènes le feu ressuscitant de ces pudeurs obscènes (Merci à Till pour cettes paroles)