Paroles de Joe-la-classe
Au prix de l'essence à la pompe,Les affaires étant peu prospères,
Je préfère y aller à pompe
Il m'en fallait une nouvelle paire,
J'arrive dans le magasin,
J'explique que je voulais un
Quanrante et un dans de l'anguille
Pour remplacer mes espadrilles.
L'anguille, c'est tout de suite un bras,
L'anguille, c'est plus cher que le rat,
L'anguille, c'est tout de suite une blinde
L'anguille, c'est plus cher que la dinde
Et plus cher que le cochon d'Inde.
L'anguille, ça fait tout d'suite vedette,
L'anguille, ça m'fait une drôle de tête,
Je ne reconnais plus mes pieds,
J'ai envie de les vouvoyez.
Je ne reconnais plus mes pieds.
La vendeuse qui me les lace
Me dit: " regardez dans la glace. "
L'anguille, ça fait tout d'suite étoile,
Chemise ouverte sur les poils La vendeuse qui me les noue
Me dit : " Monsieur, dites si vous
Touchez le bout. "
L'anguille, ça fait tout d'suite vedette,
L'anguille, ça m'fait une drôle tête,
Je ne reconnais plus mes pieds,
J'ai envie de les vouvoyer,
De leur d'mander un autographe
Et d'appeler les photographes,
Je ne reconnais plus mes pieds.
Écartez-vous la populace,
Regardez-donc qui c'est qui passe,
C'est Joe-la-Classe.
(Merci à Frassetu pour cettes paroles)
Pour remplacer mes espadrilles.
L'anguille, c'est tout de suite un bras,
L'anguille, c'est plus cher que le rat,
L'anguille, c'est tout de suite une blinde
L'anguille, c'est plus cher que la dinde
Et plus cher que le cochon d'Inde.
L'anguille, ça fait tout d'suite vedette,
L'anguille, ça m'fait une drôle de tête,
Je ne reconnais plus mes pieds,
J'ai envie de les vouvoyez.
Je ne reconnais plus mes pieds.
La vendeuse qui me les lace
Me dit: " regardez dans la glace. "
L'anguille, ça fait tout d'suite étoile,
Chemise ouverte sur les poils La vendeuse qui me les noue
Me dit : " Monsieur, dites si vous
Touchez le bout. "
L'anguille, ça fait tout d'suite vedette,
L'anguille, ça m'fait une drôle tête,
Je ne reconnais plus mes pieds,
J'ai envie de les vouvoyer,
De leur d'mander un autographe
Et d'appeler les photographes,
Je ne reconnais plus mes pieds.
Écartez-vous la populace,
Regardez-donc qui c'est qui passe,
C'est Joe-la-Classe.
(Merci à Frassetu pour cettes paroles)
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