Jeune Vétéran cover

Jeune Vétéran Paroles

Nessbeal

Album Jeune Vétéran

Paroles de Jeune Vétéran

J'élargis mon champ d'vision avant la collision
Fais une dou'a, un touareg sous perfusion
J'me suis fais discret, un sanctuaire dans ma région
Décimation, mes lésions, mon rap : une convocation
Tu t'es mis au rap quand t'as vu 8 Mile
Nique le BEP j'écrivais la rue j'avais déjà franchi la deadline
Ketama, j'reviens dans l'game c'est quoi les bails ?
Bousillé j'espère que Lil'Boosie va pas nous faire comme Shy'm
Utiliser la douleur pour monter l'niveau
04 haschich monnaie, 300 kilos
Tellement d'rivaux, autodestructions chez les marginaux
C'est pas les problèmes mais la weed qui tue l'cerveau
Un mec de tess à qui on donnerait le brassard
Du cinéma, t'es l'reflet d'une époque de schmeta
Chez moi c'est les zemel qui s'font lécher l'terma
Renoi t'es à un pas d'te faire prendre la boite à caca
Toujours aussi vilain même avec un disque de platine
C'est ça la relève : rien qu'ça tapine
J'assassine, appelle-moi guillotine
Y'aura pas d'copains-copines à coup d'808 j'termine ta team

J'ai connu l'franc, l'hypocrisie d'la gauche #FrançoisMitterand

Ghetto youth, rue d'[Hayotte ?], Dicidens, jeune vétérant
Criminogène, premier maxi, khey du vrai rap cé-fran
J'me suis fait dans la douleur, m'enfonce dans les sables mouvants Génération d'merde, tout dans la crête, rien dans la tête
Certifié classique dans la légende avec mes cahiers d'textes
Les chiens qui aboient n'mordent pas
Fiché au 36 quai des Orfèvres, la chatte de Nabilla
Ayem c'est Nicki Minaj, la chef des kehba
Sheïtan city c'est contre moi-même qu'j'mène le combat
XXX c'est la Colombia
Non, j'suis pas naît pour qu'tu dises qu'j'suis mort
Vodka Bison ça pue la tess dans nos ceaux-mor
Les Samoussas, Haute-Noues-Peace c'est les Comores
Ne2s la tête dans l'bocal rempli d’alligators
Fumer dès l'matin quand y'a rien dans l'bide
Suicide à la weed, c'est tous les jours Halloween
C'est d'la fumée verte qui s'échappe d'la chapelle Sixtine
Les kehb' ont tués la vibe, khey j'aime toujours les grosses poitrines