Paroles de La Valse Aux 100 Violons
On a fait brûler les eaux froides d'Atlantique,On a ri du monde sous nos airs angéliques,
Tu sais, pour toi, j'aurai pêché le Titanic,
J'aurais usé ma plume pour t'paraître romantique,
On s'est connu lors d'une valse aux 100 violons,
L'espace d'un instant c'est fou c'que nous nous aimions
Tu doutes de rien, tu vas, tu viens,
Juste une danse, j'ai l'air de rien,
à te regarder la vie te suit si bien.
C'était un soir pas comme les autres, en pleine mer
Tends moi la main, observe leurs regards amers,
Je ne suis qu'un pauvre peintre, et les yeux vers
Le ciel, enfant de gavroche dans ton monde milliardaire.
Juste pour l'ivresse d'une valse aux 100 violons,
Plus rien ne nous importe tant que nous nous aimons.
Tu doutes de rien, tu vas, tu viens,
Juste une danse, j'ai l'air de rien,
à te regarder la vie te suit si bien.
Je t'ai emmené là où on pouvait danser,
Dans les sous-sols là où on ne sait plus s'arrêter, Et on a bu, c'est fou c'que nous nous aimions.
Tu doutes de rien, tu vas, tu viens,
Juste une danse, j'ai l'air de rien,
à te regarder la vie te suit si bien.
Oui, J'aurai pu accuser la fatalité,
Mais on s'est aimé, ah ça oui qu'on s'est aimé
L'espace d'une valse... aux 100 violons.
(Merci à Mélissa pour cettes paroles)
Tu doutes de rien, tu vas, tu viens,
Juste une danse, j'ai l'air de rien,
à te regarder la vie te suit si bien.
C'était un soir pas comme les autres, en pleine mer
Tends moi la main, observe leurs regards amers,
Je ne suis qu'un pauvre peintre, et les yeux vers
Le ciel, enfant de gavroche dans ton monde milliardaire.
Juste pour l'ivresse d'une valse aux 100 violons,
Plus rien ne nous importe tant que nous nous aimons.
Tu doutes de rien, tu vas, tu viens,
Juste une danse, j'ai l'air de rien,
à te regarder la vie te suit si bien.
Je t'ai emmené là où on pouvait danser,
Dans les sous-sols là où on ne sait plus s'arrêter, Et on a bu, c'est fou c'que nous nous aimions.
Tu doutes de rien, tu vas, tu viens,
Juste une danse, j'ai l'air de rien,
à te regarder la vie te suit si bien.
Oui, J'aurai pu accuser la fatalité,
Mais on s'est aimé, ah ça oui qu'on s'est aimé
L'espace d'une valse... aux 100 violons.
(Merci à Mélissa pour cettes paroles)
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